Dimanche 20 mai 2007 à 19:12

Ma chienne est morte. Lundi dernier. Je sais que vous vous en foutez pertinemment puisque vous ne saviez pas à quel point ma chienne était belle et intelligente, mais c'est triste. Parce que ça fait bizarre de rentrer dans une maison vide et de plus crier comme une attardée "o vouiiiiii mon chieeeeeen ". En plus j'ai vu le véto porter mon chien mort dans un sac poubelle. [ ça, c'était le détail morbide ^^ ]

Donc on cherche un nouveau chien. Et j'ai appris que c'est l'année des C. On pouvait pas mieux tomber. Comme ça on l'appellera Claire et ma mère arrêtera de m'appeller par le nom du chien et vice-versa. [ Rooo, Claire, tu me mets plein de poil partout, c'est fatiguant à la fin hein !] Sans rire, ça va être complexe de lui trouver un nom à ce petit nouveau. Cette petite nouvelle même (parce que les mâles, ça fait chier... c'est des mâles quoi). Parce qu'il faudra pas que ça ressemble trop à Claire, sinon je vais mal le vivre et je vais croire qu'on m'appelle toutes les 5 minutes.
Le problème c'est que j'ai pas beaucoup de truc bien qui e viennent à l'idée...

Carafe
Canapé
Cataracte
Culotte
Cloche
Cacao
Citrouille
Cabillaud
Césarienne.... et autres mots qui commencent par C et qui sont totalement inutilisables.

Après il nous reste les noms de déesses, d'étoiles... Mais je m'y connais ni en mythologie ni en astronomie. Si jamais vous avez des idées, qu'on rigole un peu ^^


Dimanche 20 mai 2007 à 13:33

Nombre de calories ingurgitées en trois jours : au moins 15 milliards. Comprenant :
    - 1/2 pizza
    - 1/6 de fondant au chocolat
    - nombreux chamallow et bonbons
    - 9 tartines de nutella
    - escalope de dinde + sauce crème fraiche-ketchup-fromage + riz
    - un café
    - nombreux verres de boissons diverses et variées (et sucrées)
    - 2 croque-monsieur (+ salade avec sauce crudité calorique)
    - 1 part de fraisier géant (incluant : génoise géante imbibée au rhum, fraises géantes, déco en pâte d'amande et crème hypra calorique)
    - nombreux pop corn
 
Nombre d'heures de sport effectuées depuis mardi dernier : 0
 
Mon Dieu, j'ai l'impression que ma graisse suinte par tous les pores de la peau. Bon n'empeche que l'escalope de dinde, c'était super bon. Ma mère est une traître, je viens de rentrer et elle me propose de manger sa superbe raie au câpres. Comment puis-je résister, je vous le demande ? Je me sens remplie, voire gavée comme une oie. Ca suffiiiiiiiiiiit ! J'arrête de manger et je DORS ! Et je travaille. Tsss, faut le dire vite.

Je vais aller me mettre devant le tennis, après je vais dormir, et ensuite si il me reste du temps, je travaillerais. Dans la vie, il faut connaître ses priorités.

Jeudi 17 mai 2007 à 18:28

Quand on y pense, un genoux, c'est super mal foutu. Extérieurement je parle. Je regardais mes genoux tout à l'heure, faut faire quelquechose là, c'est plus possible de devoir supporter ces trucs au quotidien ! Déja ça fait une grosse bosse en plein milieu de la jambe, genre ils auraient pas pu s'arranger pour niveler le terrain, et en plus ça fait des plis quand on est debout. Oui parce que la graisse elle est sur les côtés, et d'ailleurs, c'est super mal placé la graisse dans un genou. Parce que ça amorti absolument pas la chute. Donc moralité, quand tu te casses la geule, c'est la bosse du genoux qui prend tout, et ça fait mal cette connerie. Et puis je t'expliques même pas la galère quand tu veux t'épiler les jambes, avec toutes ces bosses et ces creux, on est sensé s'en sortir comment nous ?!
C'est quand même assez complexant cette histoire. Surtout que ces toujours par là qu'on a des bleus énormes (ça c'est encore l'histoire de la graisse mal placée, tsss). Comme si en plus d'être moches et pas pratiques, les genoux avaient besoin d'attirer l'attention sur eux !


[ en plus j'ai doublement la haine envers mes genoux, parce que j'ai un énorme bleu d'environ 4 cm de diamètre, que je me suis fait en danse au lycée, allez y je vous autorise à vous foutre de ma gueule.
Nan mais franchement, où va le monde si même notre corps nous trahit ?! ]


Mardi 15 mai 2007 à 22:03

Là, c'est le moment où je vous donne de mes nouvelles en sortant une formule magique :

Quand on veut, on peut.
(pas toujours, m'enfin là en l'occurence OUI)

Chapitre 1 : Oral de Français

Hmm, alors je suis tombé sur l'étude comparé du préambule de Montaigne à ses Essais, et du préambule des Confessions de ce cher Jean-Jacques. L'étude de texte qu'on avait fait vite fait, sans sous parties, avec des grandes parties très limites. Donc, bah je me suis lancé, j'ai eu mes 5 minutes de panique le temps que je retrouve le titre des deux grandes parties, et puis c'était vraiment la paniiiique parce que une demi heure pour préparer c'est carrément trop court ! Après la présentation  j'avais l'impression de rien avoir à dire et de répéter toujours la même chose, en plus, dans la panique j'ai oublié des points importants (oui parce qu'en fait j'ai sauté sur les trucs intéressants des premières lignes et puis j'ai oublié de faire attention aux dernières lignes. Moi boulette ? Absolument pas !). Et puis je suis doublement une boulette parce que au lieu de garder pour moi l'exemplaire gribouillé, souligné avec les lignes numérotées (ce qui aurait été plus facile pour citer le texte, n'est-ce-pas) et bah je l'ai donné à la prof. le pire c'est que j'ai mis du temps à m'en rendre compte... pfiou que d'émotions que d'émotions !
L'entretien c'était un peu le parcours du combattant aussi parce qu'elle m'a demandé de dégager les chéplukoi des autres textes autobiographiques qu'on avait étudié. En gros mini-commentaire des trois autres textes, comme ça, cache pistache ! Bon alors j'ai commencé par celui de Rousseau, j'ai pas trop eu à m'étendre vu que j'avais déja blablater sur lui avant, ensuite le texte de Leiris pas de problème je l'avais déja fait en troisième en plus j'avais super bien écouté en cours. Mais le drame, ç'a été le texte de Sartre, alors le Jean Paul, je le retiens là ! D'une, j'avais pas été supra-attentive j'avoue, de deux, le plan de ma prof était bizarre (disons que j'aurais jamais, mais alors jamais pondu un truc pareil avec ce texte, bref). Donc là c'était l'alerte rouge dans mon cerveau, genre l'alarme qui sonne, message radio appel à toutes les unités "y a t'il quelqu'un dans ce foutu cerveau qui sait quoi dire à propos du texte de Sartre ?!!"  Et donc là, illumination, je me suis souvenu que la prof avait parlé de la naissance d'une névrose. Donc moi je sors ça, innocemment. Mais là, l'examinatrice me demande d'approfondir genre question qui tue "qu'est ce que vous entendez par névrose, qu'est ce qui vous fait dire ça blablabla". Re-alerte rouge dans mon cerveau. Et je sors mal-être en société, et autres trucs suscpetibles de faire un semblant de réponse valable. Mais elle avait pas l'air d'accord avec ce qu'avait dit ma prof, la névrose et le mal-être en société ça lui plaisait pas du tout hein, non non non. Alors j'ai essayé de défendre mon petit bout de steack du mieux que je pouvais, mais en fait je crois que je m'enfonçais plus qu'autre chose. On a arrêté la discussion sur Sartre et elle m'a posé des questions sur l'autobiographie que j'avais lu (enfait j'ai commencé les Mots, *Sartre forever*, mais j'ai abandonné, et je m'en suis sorti grace à Amelie Nothomb, que j'avais lu pour mon plaisir et non pour le français...) Mais elle était curieuuuuuse, elle voulait tout savoir, c'était horrible ! Genre j'allais lui raconter page par page. Bref elle a conclu en disant "Nan mais sinon c'est bien hein" avec un sourire.

J'étais pas très fière de moi (bon en même temps je suis du genre jamais contente et trèèès perfectionniste), mais en fait, le lendemain, texto : "Claire t'as eu 15 à l'oral, pfff tu me soules !" MOUHAHAHA !! Oh joie, joie, joie !! 15 à l'oral blanc, mais c'est... magnifique !!


Chapitre 2 : Compétition

Déja, je partais avec une avantage vu que je venais d'apprendre pour mon 15 à l'oral. Et puis j'étais motivée quand même. J'ai pas fait des temps extraordinaires (j'espère refaire mes meilleurs temps cette année, j'espèèèère), mais je suis tout de même arrivée 1ere au 50 brasse, 2e au 100 brasse et 3e au 200 brasse. Trois épreuves , trois podiums, je dis que c'était une bonne moyenne. Bon ok, certes, y'avait pas du gros niveau, mais moralement, le podium, c'est bénéfique. Et puis je me suis bien amusééé, avec des filles aussi folles que moi et tous ces nageurs mignons... En plus j'ai vu mon frère d'amour, qui était sensé me voir nager, mais qui est arrivé juste au moment où je sortais de l'eau (dans la famille boulet, je voudrais le frère, oui parce que bon la soeur, on a déja donné).

Chapitre 3 : Contrôle de Maths et retour à la civilisation

Après trois jours coupée du monde, à se lever à 6h15 et à passer sa journée au bord du bassin avec des gens qui partagent vos trips un peu spéciaux (la fatigue aidant beaucoup aux craquages en tout genre), c'est pas facile facile de retourner au lycée avec le sourire. Surtout quand on est rentré à 23h et qu'on est mort de chez mort, parce qu'on a à peine eu 7 heures de sommeil par nuit. Mais le plus dramatique, c'est quand même la perspective du contrôle de maths, pour lequel on a pas eu le temps de réviser, inutile de le préciser. Dans le week-end, j'ai du lire mon cours à peu près deux fois et demi, par période de 10 minutes, voir 25, dans les moments de grande gloire (ou de grande panique/inquiétude/désarroi, rayez la mention inutile). Mis bout à bout, j'ai du faire environ 50 minutes de maths, et évidemment, j'ai lu que le cours hein, j'ai pas pu faire d'exos, et sans exos, en fait, ça sert pas à grand chose de réviser (à part pour apprendre des formules que toutes façons j'oublie au bout de trois heures). Donc Lundi, retour au lycée et début des réjouissances avec le contrôle de maths ! Et bah franchement, [ minute envoyage de fleurs ON ], je suis trop forte, parce que sans réviser et en faisant plein de fautes bêtes (que j'aurais pu éviter si j'avais pas les yeux qui se fermaient tous seuls, mais c'est une autre histoire), j'ai eu 12 !! Nan mais rendez-vous compte ! Au début de l'année en bossant comme une débile pendant quatre heures, je me tapais 10. C'est fou, moi je dis.
[ minute envoyage de fleurs OFF ]

Mercredi 9 mai 2007 à 21:47

Je ne suis que confiance et assurance. Je crois que l'auto-persuasion c'est encore ce que j'ai trouvé de mieux dans ces moment de stress intense. Tiens d'ailleurs, je suis une fille zen, le stress, c'est pas pour moi (le tout c'est d'y croire...). Demain oral blanc de français, il FAUT que je réussisse. Récapitulation : ne pas paniquer, se concentrer, se dire que c'est seulement le blanc (et que pour le vrai ça sera bien pire, rha tais toi cerveau), sourire, et au cas où je ne sais pas répondre, sauver les meubles, l'air digne. Très important, sauver les meubles.

Demain encore, mes deux premières heures de conduite. Aaah ! Ne pas paniquer, et ne pas se dire qu'on pourrait faire un très bon danger public sur la route. Se rappeller que la dame à côté, elle a aussi les pédales. Oui mais et le volan alors ? Tais toi cerveau on a dit maintenant hein.

Et puis Samedi et Dimanche, compétition à Nancy. (même que je pars vendredi midi et que je loupe 2h de français et 1h d'ecjs, comme c'est triste) Bon là je veux pas me poser un ultimatum, ni me mettre la pression ou quoi que ce soit, mais faudrait faire des bons temps, quand même. Je VEUX faire des bons temps. Parce que sinon ça engendre tout un tas de complication, genre ratage de contrôle de maths pour cause de démotivation, mauvaise humeur, mini-déprimation blablabla.

C'est pas facile tous les jours d'être exigente avec soi-même, croyez-moi !

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