Lundi 30 avril 2007 à 22:30

J'ai décidé de mettre une chanson de Muse dans le menu, en même temps que la chanson du moment. D'abord parce que Muse c'est trop bien, et puis parce New born c'était pas suffisant pour montrer que Muse, on l'écoute à tous les moments. Oui je sais ma phrase ne veut rien dire mais je me comprend, c'est déjà ça.

Je viens de sortir d'une partie de scrabble avec ma maman. On a eu : baisée, pute et tapiner (faire le tapin, racoler) à trois tours consécutifs.

Moi (super sérieuse) : attends faut que je compte ce qui fait le plus de point entre lapine, tapine et alpine. *cogite cogite* ..... c'est tapiner qui rapporte le plus c'est ça hein.
Ma mère (morte de rire) : oui il parait !
Moi (me rendant compte de ce que je viens de dire) : ah oui....effectivement !!

Ne pensez jamais que le scrabble est un jeu sérieux. En plus on peut inventer plein de mots, nan franchement ça développe la créativité ce jeu. Et je suis verte, il y a même pas "pschitt" (ou pchitt/pchit/pschit, comme vous voulez) ni "slurp" dans notre vieux dico de 1991. M'enfin bon, j'ai gagné quand même.

Sinon je suis trop fière j'ai fini mon DM d'anglais "what does the word hero mean to you ?" . J'ai pu ressortir ma science sur spiderman, x-men and all that stuff... CON-TENTE. Faut que je propose au prof de regarder X-men pour approfondir le sujet. Le pire c'est qu'il serait capable d'accepter.

Samedi 28 avril 2007 à 14:11

Pénurie de fiche bristol.

Mince alors, comment vais-je faire pour faire mes fiches de français ?!

Aucune solution à l'horizon.

Condamnée à aller lire Bridget Jones sur le Transat au soleil.


Samedi 28 avril 2007 à 13:33

J'ai révé que c'était la rentrée de septembre. Et que j'étais une des premières à la grille. Sauf que c'était pas la grille de mon lycée mais de mon ancien collège. J'ai croisé un prof d'histoire du lycée (très charmant, inutile de le préciser). Et puis je suis allé discuter avec deux filles de ma classe que j'aime pas, mais bizarrement, j'avais envie que ce soit mes copines là. Ensuite y'a Julien et Céline qui sont arrivé et je me suis dit, ah enfin des vais gens que j'aime !
Ca a sonné et on est allé se ranger devant un bâtiment. J'étais plus en S mais en Arts Appliqués. Il y  avait plein de nouvelles têtes dans la classe, et surtout plein de filles. On est rentré dans une sorte de salle, ça ressemblait vaguement à une salle de cours et aux salle quand on est en stage, avec des chaises en tissu et des grandes fenêtres. Et puis y'a deux profs qui sont rentrés et ils nous ont distribué des feuilles. C'était une liste de mots bizarres (de tous ceux dont je me souviens, je crois qu'aucun n'existait) et on devait faire un jeu bidon qui consistait à dire des mots à voix haute chacun son tour. Soi disant pour favoriser la communication entre les élèves. Même que je me suis trompée en lisant le mot, j'ai dis "Indonésie" au lieu de dire un truc imbitable et insignifiant qui commençait par i.

Après j'ai comme un espèce de transfert de circonstances. C'était plus la rentrée mais j'étais en stage BAFA. Les deux profs et leur jeu bizarre avaient disparu, y'avait les mêmes gens, même plus, et y'avait un animateur qui ressemblait beaucoup beaucoup au seul entraineur de natation gentil qui encadre les stages régionaux (en deux mots, je le kiffe). C'est là qu'un autre animateur a dit, allez, on va faire les groupes ! J'ai découvert que mon animateur chéri s'apellait William. Soit, je vous expliquerais peut être l'ironie de l'appellation si j'ai le courage de faire la liste des hommes de ma vie. Et donc j'étais juste en face de William quand il appelait pour faire les groupes, limite je lui faisais pas pression du regard pour qu'il me mette dans son groupe. Il appelé la dernière personne et j'étais pas dedans, j'avais la rage parce que justement, dans le groupe de William, il y avait tous mes amis. D'ailleurs, bizarrement, tous les gens de ma classe que j'aime bien sont apparus dans le groupe de William. J'ai fait du zèle genre "silteplééééééééé-williaaaaaaaaaaam" et j'ai réussi à aller dans son groupe. Là il m'a donné ma photo d'identité que je devrais mettre sur mon badge. Allez savoir pourquoi, c'était une photo de moi assise dans l'herbe quand j'avais 6 ans. Ensuite une petite fille m'a interpelé en me demandant si j'habitais dans les immeubles près de la mairie. Je lui ai répondu que non, moi j'habitais dans une maison près du collège. Alors elle m'a sorti "c'est donc ta grand mère, Mme *elle me sort le vrai nom de ma grand mère* qui habite dans cet immeuble et qui allait souvent en vacances à Gordes, n'est ce pas ?". Déconfite que j'étais par la démonstration de la fillette, je lui bafouille un "euh oui". Et là elle me tend une image, genre les images qu'on recevait en primaire quand on avait été sage. C'était une image d'animaux, c'était même des manchots, avec au verso des flamands roses. Maintenant que j'y pense, ça me rappelle les images qu'il y avait dans les tablettes de chocolats que je mangeais quand j'étais petite. Bref. Peu après une autre petite fille me tend des images du même genre. Et c'est là que je me rend compte que j'ai perdu ma photo d'identité pour mon badge. Je cherche partout, me rend compte que les fillettes m'ont donné deux fois l'image avec les manchots et les flamands roses, m'accoupis pour cherhcer ma photo introuvable, je panique, et je me réveille.

Analyse :
On retrouve bien le genre de rêve pré-rentrée, ou je suis contente de retouver mes petits poteaux et de commencer de nouvelles aventures. Peut-être qu'au fond de moi, j'ai très envie de retourner en cours. Mais alors vraiment au fond fond hein.
Après, le croisage de prof d'histoire charmant, c'est parce qu'il faut toujours qu'il y ai au moins une personne inaccessible sur qui je bave.
La discution avec les deux pimbêches de ma classe révele peut être un côté bon samaritain, fais le bien autour de toi et aime ton prochain. Peu probable, mais bon.
Mon plus grand regret de ma vie de lycéenne est là lui aussi : ne pas avoir décidé à temps de partir ailleur faire Arts appliqués ou au moins option art plastique.
Le coup du jeu bidon avec les mots, je crois que c'est parce que j'ai fait trop de formation de délégués dans ma jeunesse et je dois en être légérement traumatisé aujourd'hui encore...
Le stage BAFA, c'est parce que c'est la grande mode en ce moment, la moitié de mes copines le font, alors je m'y crois moi aussi.
Ah et puis je suis contente d'avoir révé de "William" ! Parce que ça fait longtemps que je l'ai pas vu et que ça me rapelle de bons souvenirs de compétition. En tout cas, ça représente le retour de la natation dans mes rêves, signe que ça commence à me préoccuper.
Bon après le trip des petites filles, de la photo d'identité et des images de manchots et de flamands roses, totalement inexplicable.

Vendredi 27 avril 2007 à 21:34

Un retour de vacances c'est toujours bizarre. Mi-agréable, mi-déprimant.
Quand même contente de retrouver ma petite maison, mon petit lit, et internet, j'avoue.
Mais un peu frustrée, parce que c'était un peu court, et que j'ai pas l'impression d'en avoir profité pleinement à cause de ces p*tain de fiches de Français. Fiches que je n' ai absolument pas finies, soit dit au passage. Caca.
Et puis qui dit retour de vacances dit rentrée imminente. Encore que j'ai un léger sursis avec le 1er mai... Mais bon, rentrée ça veut dire reprise du rythme, se lever tôt, ne pas se coucher trop tard, plus de regardage de grey's anatomy jusqu'à minuit, plus de levé à 12h, rangeage de bureau pour pouvoir travailler (ô joie ! ). Va falloir sérieusement se replonger dedans là. Oral blanc, bac de Français. Avant ça m'inquiétais pas parce que je croyais que j'étais forte en français, mais en fait ça aurait plutôt tendance à être le contraire ces temps-ci, je crois que je sais toujours pas faire un commentaire digne de ce nom. En plus desfois j'ai des gros problèmes orthographiques et je suis une bouse aux mots croisés (ou aux mots fléchés, t'façon, croisés/fléchés, même combat hein). Bref. Il y a aussi la piscine, les compétitions importantes approchent et j'ai pas envie de faire des mauvais temps comme la saison dernière. J'ai envie d'exploser mes temps, d'être super fière de moi et de pouvoir sauter partout. Bordel, il me reste plus que 3 compétitions dans l'année, ça passe trop vite. Ah oui tiens ça aussi ça me fait peur, le temps passe trop viiiiiiiiite ! On est déja presque au mois de mai, ça veut dire que l'année est presque fini et j'ai l'impression de rien avoir fait de concret, c'est terrible. [ Rha, chut. Se dire que ce n'est qu'une impression momentanée. Penser à faire bilan de toutes les choses faites durant l'année scolaire pour se rassurer vis à vis d'utilité de mon existence.]

Sinon côté amour calme plat (si on occulte les rêves surement très révélateurs, et très agrèables qui plus est), je me suis acheté des chaussures (mais j'ai pas réussi à avoir Hugh Jackman ou autres fantasmes oniriques, ô combien nombreux) et puis Norah et Londonday elles sont coules, c'est mes copines ! :D

Ah oui et tiens, nouvelle chanson du moment : Jenny don't be hasty - Paolo Nutini  ( parce qu'en fait je l'ai entendu sur Europe 2, et elle rentre super beaucoup dans la tête cette chanson quand même. En plus pour une fois que je captais Europe 2 ailleur qu'à  Paris, je me devais de marquer le coup, enfin voilà tais toi Claire maintenant les gens ils en ont marre des articles qui finissent pas )

Jeudi 26 avril 2007 à 11:52

   Bon, en premier, la séance "jetons-lui des fleurs". Après tout, elle le mérite.

   Claire, elle est sympa et rigolote (mais si ça se trouve, en vrai elle est nulle...je rigole hein :) ). Claire, elle nage, mais contrairement à Londonday, elle ne m'a pas du tout convertie. Elle m'a juste convaincue qu'elle faisait partie de ces filles avec une volonté sur-humaine, et rien que pour ça, je m'incline bien bas. Claire, elle fait des rêves chelous avec Hugh Jackman (moi aussi je veeeuuuux !) et des chaussures. Claire, elle est dingue et c'est pour ça qu'on l'aime.

   Spécialement pour elle, mais va falloir changer les prénoms (on peut pas tout avoir...) :

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