Claire, demain c'est l'école. Oh non, Claire, ça suffit. Arrête de pleurnicher là, ça rime à rien. Comment ça tu ne veux pas y aller ? C'est pas comme si t'avais le choix ma petite ! Et c'est pas la peine de me faire tout ce cinéma, tu iras, un point c'est tout ! Allez, Claire, tu vas revoir toutes tes copines. Tu vas pouvoir apprendre pleiiiiiin de choses intéressantes ! En plus demain matin tu as deux heures d'histoire, si c'est pas la belle vie ça ?! Quoi les devoirs ? Ah, ouiiii, ça. Mais c'est pas grave ça va vite. Un peu de courage et c'est plié en une heure, non ? Une dissert' de philo et un oral d'anglais euro à préparer pour mardi ? Effectivement...ça devient délicat. Enfin entre nous, il te reste toute la nuit de lundi.
Et sinon au niveau des révisions du bac blanc t'en est où Claire ?
Hmm j'ai commencé un planning...
Il te reste au moins 3 bons jours pour finir ton planning de révisions, ce qui te laisse 4 jours pour réviser.
J'suis LARGE.
Jmefaitdesdialoguestouteseuleetc'estcacadereprendrel'écoleBONSOIIIIIIIR.
Dimanche 6 janvier 2008 à 19:14
Jeudi 3 janvier 2008 à 23:09
J'y pense à l'instant :
Cette semaine, j'ai rêvé 3 nuits de suite que je mangeais à la cantine. Genre, tout mon rêve se passait à la cantine en plus.
Non, on ne peut pas qualifier ça de normal.
Je le note, comme ça en passant, juste pour m'en souvenir. Je suis sûre que ça me fera rire quand je le relirais.
Ce blog n'est qu'une conversation entre le moi à l'instant t et le moi à l'instant t+1, Bonsoir.
Cette semaine, j'ai rêvé 3 nuits de suite que je mangeais à la cantine. Genre, tout mon rêve se passait à la cantine en plus.
Non, on ne peut pas qualifier ça de normal.
Je le note, comme ça en passant, juste pour m'en souvenir. Je suis sûre que ça me fera rire quand je le relirais.
Ce blog n'est qu'une conversation entre le moi à l'instant t et le moi à l'instant t+1, Bonsoir.
Jeudi 3 janvier 2008 à 23:04
J'ai une humeur de montagne russe. Des hauts des bas. Et même des loopings parfois. Des loopings qui serrent le coeur, en bien ou en mal.
Mail de bonne année envoyés, une amie d'enfance retrouvée (merci Facebook), des photos d'un été regardées pour la millième fois mais sans ce goût amer.
Un oreiller mordu en trépigant pour éviter de crier toute ma frustration. C'était hier dans mon lit à minuit passé. Parfois je me pose des questions sur mon équilibre psychique. M'enfin bon... Qui peut prétendre connaître le parfait équilibre ?
3h de maths aujourd'hui, à mon grand étonnement c'était bien. Quasi sensation de plénitude, comme quand j'écris, comme quand je dessine, comme quand je mange du chocolat en écoutant de la musique, comme quand je nage. 3h de maths le temps d'oublier tous ses soucis. Je parlais de mon équilibre psychique ?
Deux jours que j'écoute les albums de Shivaree en boucle. C'est tout à fait excellent. Demain je change les musiques du menu et je vous met du Shivaree, tiens.
Happy Ending de Mika sur MTV pulse. Ca me rend triste. Je le ressens comme la banalisation de quelquechose d'immensément sacré. Comme si d'un coup, le foie gras avait le goût d'un vulgaire paté marque repère.
Sinon, là tout de suite maintenant, je me sens bien, je me sens presque belle.
Frêle équilibre.
PS : C'est drôle (enfin non on se bidonne pas mais c'est une expression, faites pas les relous), je met toujours les titres une fois que j'ai fini d'écrire l'article.
PPS : Et là je me rend compte que ce titre est plein de métaphore que je suis surement la seule à comprendre, mais qu'il serait toutefois intéressant de développer. Un autre jour.
Mail de bonne année envoyés, une amie d'enfance retrouvée (merci Facebook), des photos d'un été regardées pour la millième fois mais sans ce goût amer.
Un oreiller mordu en trépigant pour éviter de crier toute ma frustration. C'était hier dans mon lit à minuit passé. Parfois je me pose des questions sur mon équilibre psychique. M'enfin bon... Qui peut prétendre connaître le parfait équilibre ?
3h de maths aujourd'hui, à mon grand étonnement c'était bien. Quasi sensation de plénitude, comme quand j'écris, comme quand je dessine, comme quand je mange du chocolat en écoutant de la musique, comme quand je nage. 3h de maths le temps d'oublier tous ses soucis. Je parlais de mon équilibre psychique ?
Deux jours que j'écoute les albums de Shivaree en boucle. C'est tout à fait excellent. Demain je change les musiques du menu et je vous met du Shivaree, tiens.
Happy Ending de Mika sur MTV pulse. Ca me rend triste. Je le ressens comme la banalisation de quelquechose d'immensément sacré. Comme si d'un coup, le foie gras avait le goût d'un vulgaire paté marque repère.
Sinon, là tout de suite maintenant, je me sens bien, je me sens presque belle.
Frêle équilibre.
PS : C'est drôle (enfin non on se bidonne pas mais c'est une expression, faites pas les relous), je met toujours les titres une fois que j'ai fini d'écrire l'article.
PPS : Et là je me rend compte que ce titre est plein de métaphore que je suis surement la seule à comprendre, mais qu'il serait toutefois intéressant de développer. Un autre jour.
Mercredi 2 janvier 2008 à 20:57
Ca pourrait pas être simple ? Je pourrais pas être amoureuse de quelqu'un qui a mon âge, que je vois souvent et qui m'aime aussi tant qu'à faire ?
A la limite, être amoureuse de mecs inaccessibles ça serait pas un problème si ça ne me rendait pas triste, et si toutes ces histoires ne se ressemblait pas desespérément. Ca ne serait pas non plus très contraignant si une photo ne me donnait pas envie de me terrer dans mon lit pendant 15 jours, si je ne faisait pas des rêves plutôt significatifs, si je n'avais pas tendance à me faire des films dans cette période pré sommeil, où rêve et réalité s'entremêlent dangeureusement.
Malheureusement ce n'est pas le cas, donc c'est contraignant. Et ça fait chier.
Et le prof de philo qui nous donne un texte de Pascal, qui se demande ce que c'est vraiment le moi, et qui dit que de toutes façons, on aime quelqu'un juste pour ces qualités et son apparence. Pascal je te maudis, je ne veux rien savoir de tout ça, j'ai pas envie d'apprendre des trucs là dessus, encore moins de pondre une copie double sur l'amour, je ne veux rien entendre, rien entendre, rien entendre !
"C'est quoi ce bordel avec l'amour là ? Comment ça se fait qu'on devient dingue à ce point. T'imagine le temps qu'on passe à se prendre la tête là-dessus ? Quand t'as quelqu'un : Est-ce que c'est la bonne ? Est-ce que je l'aime vraiment ? Et est-ce qu'elle m'aime autant que moi je l'aime ? Est-ce qu'on peut aimer plusieurs personnes dans sa vie ? Pourquoi on se sépare ? Est-ce qu'on peut réparer les choses quand on sens que ça se barre en couille ? Toute ces questions à la con qu'on se pose tout le temps là... Pourtant on peut pas dire qu'on y connaît rien, on est préparé quand même. On lit des histoires d'amour, on lit des comptes, on lit des romans d'amour, on voit des films d'amour, l'amour, l'amour, l'amour... "
A la limite, être amoureuse de mecs inaccessibles ça serait pas un problème si ça ne me rendait pas triste, et si toutes ces histoires ne se ressemblait pas desespérément. Ca ne serait pas non plus très contraignant si une photo ne me donnait pas envie de me terrer dans mon lit pendant 15 jours, si je ne faisait pas des rêves plutôt significatifs, si je n'avais pas tendance à me faire des films dans cette période pré sommeil, où rêve et réalité s'entremêlent dangeureusement.
Malheureusement ce n'est pas le cas, donc c'est contraignant. Et ça fait chier.
Et le prof de philo qui nous donne un texte de Pascal, qui se demande ce que c'est vraiment le moi, et qui dit que de toutes façons, on aime quelqu'un juste pour ces qualités et son apparence. Pascal je te maudis, je ne veux rien savoir de tout ça, j'ai pas envie d'apprendre des trucs là dessus, encore moins de pondre une copie double sur l'amour, je ne veux rien entendre, rien entendre, rien entendre !
"C'est quoi ce bordel avec l'amour là ? Comment ça se fait qu'on devient dingue à ce point. T'imagine le temps qu'on passe à se prendre la tête là-dessus ? Quand t'as quelqu'un : Est-ce que c'est la bonne ? Est-ce que je l'aime vraiment ? Et est-ce qu'elle m'aime autant que moi je l'aime ? Est-ce qu'on peut aimer plusieurs personnes dans sa vie ? Pourquoi on se sépare ? Est-ce qu'on peut réparer les choses quand on sens que ça se barre en couille ? Toute ces questions à la con qu'on se pose tout le temps là... Pourtant on peut pas dire qu'on y connaît rien, on est préparé quand même. On lit des histoires d'amour, on lit des comptes, on lit des romans d'amour, on voit des films d'amour, l'amour, l'amour, l'amour... "
Les Poupées Russes
Mercredi 2 janvier 2008 à 20:32
Des nouvelles. Un petit résumé de ces derniers jours, pour vous si vous voulez, mais surtout pour moi en fait.
La compétition, c'était, comment dire, bien et pas bien. Bien parce que j'ai refait un très bon temps au 100 crawl alors que c'était inespéré. Bien parce que j'ai fait un temps plus que convenable au 100 brasse, un temps presque aussi bon que ceux d'il y a deux ans, un temps qui pourrait annoncer de belles promesses. Bien parce que malgrès les bons ou mauvais temps, cette compétition restera toujours magique, grace à cet esprit d'équipe qui règne au club. C'est juste, trop bon. Et j'aime les gens qui nagent avec moi.
Sinon c'était pas bien, parce que j'aime pas enchainer sur une compét' juste le lendemain des vacances pour ensuite enchainer sur Noël et un séjour parisien. J'aime avoir une coupure de deux jours où je ne fais rien, mais strictement rien, et ou je dors. Or là c'était pas possible, couché 23h vendredi, levé 7h samedi couché 22h, levé 5h55 un dimanche 23 décembre. Où va le monde. C'était pas bien parce que j'ai pas fait un super super temps au 400 4nages, je me sentais pas bien du tout, je crois que je me suis jamais sentie aussi mal sur un 400 4nages. Et puis je m'enerve parce que j'ai stressé toute l'après midi avant cette foutue épreuve, et j'ai peut-être trop stressé. Ca me démoralise d'autant plus que j'ai constaté un truc cruellement véridique : on nage vite quand on est amoureux. Exemple type : moi l'année dernière, amoureuse, pleine de confiance, en plus mon amoureux de l'époque était là. Deuxième exemple type un pote qui sort avec une fille depuis 3 semaines a littéralement explosé tous ces temps. Pire, troisième exemple type : celui qui est amoureux de moi a lui aussi explosé son temps. Et là j'ai une question qui me trotte dans la tête : est ce que s'il avait été là, au lieu de choisir CE week end pour se faire la malle à paris, j'aurais fait un bon temps au 400 4nages. J'aurais tendance à dire oui, malheureusement. Je me connais, j'aurais voulu bien faire, j'aurais été dans un état de douce euphorie plutôt que dans une appréhension totale. Je disais donc bien : je m'énèrve moi même.
A part ça, la troisième mi-temps était bien, un resto avec tout le monde, comme d'habitude. Particulièrement marrant puique j'avais en face de moi un nageur que je ne connaissais pas trop, vu qu'il a 25 ans et qu'il est parti du club au moment où j'y suis arrivé. J'ai appris à le connaitre, et c'est donc un petit rigolo. Le pire c'est qu'il a fait la même école que ce lui qui n'est pas venu. Cruelle ironie du sort. Pour finir, petit poker entre nageurs. Seule fille au milieu de 6 mecs, c'est plutôt sympa je dois dire. Même si j'ai passé plus de temps à rire avec mon voisin qu'à réellement m'occuper de la partie. Dimance 23 décembre, levé 6h couché 2h. Record presque battu.
Noël, j'ai comme l'impression que c'était accidentel. Un truc que j'avais pas préparé, et qui m'est tombé dessus, comme ça, pouf (oui je sais je fais bien le bruit du Noël qui me tombe dessus). Cette année, c'est comme si j'étais une blasée de Noël, alors qu'en fait pas du tout, j'aime m'emerveiller de toutes ces illuminations, faire le sapin et retomber en enfance, attendre mes cadeaux avec hate, attendre les réunions de famille avec impatience etc. Mais là, rien de tout ça. Et je m'en veux d'être passé à côté d'un truc pareil. Est-ce que c'est parce que je n'arrive plus à m'emerveiller de ce genre de chose, où est ce c'est juste parce que j'ai été prise au dépourvu, temporellement parlant ? J'ai passé la journée du 25 à être fatigué, à ne rien avoir à dire, à ne pas avoir envie de manger. Comment j'ai pu être à ce point à côté de mes pompes dans un jour que j'aime autant ? Plus généralement, comment je fais pour être à ce points à côté de mes pompes en ce moment ? Aux antipodes de ce que j'aimerais être ?
J'aime pas, j'ai 'impression d'avoir un Noel qui se résume aux mots : achat cadeaux / emballage / ouverture cadeaux / remerciements. Plié. Un Noël mécanisé. Est ce que désormais je fais partie de ces gens que les fêtes de fin d'année déprime ? Pitié dites moi que non.
Pourtant ça y ressemble cruellement. On ne peut pas dire que mon nouvel an était géniallissime, c'était bien mais sans plus, je l'ai vécu comme un truc à faire pour faire plaisir. C'est chose faite , voila une épreuve de passé. C'est pas vraiment la conception du nouvel an que je voudrais avoir, mais bon.
La seule chose qui m'a remis de bonne humeur ça été de passer du temps avec ma cousine à Paris, de voir mes cousins, même si j'ai pas le sentiments d'avoir profité d'eux le jour de Noël. Au fil de mon séjour parisien (5 petits jours seulement), j'étais de plus en plus de bonne humeur et j'ai réussi à ne pas penser aux trucs qui me hantaient (ce mot est à peine trop fort), ça aurait pu durer, mais non. De retour chez moi et j'ai l'impression que tout recommence, je me sens submergée à nouveau. Enfin bon, j'aurais au moins eu le mérite d'avoir une bonne vraie coupure. Même si ce fut une coupure sans rendez vous oléronnais, comme on se l'était dit. Paroles en l'air... Alors c'est vraiment ça, on a chacun sa vie et on s'oublie le reste de l'année ?
Bref. En fait ça va pas super en ce moment.
La compétition, c'était, comment dire, bien et pas bien. Bien parce que j'ai refait un très bon temps au 100 crawl alors que c'était inespéré. Bien parce que j'ai fait un temps plus que convenable au 100 brasse, un temps presque aussi bon que ceux d'il y a deux ans, un temps qui pourrait annoncer de belles promesses. Bien parce que malgrès les bons ou mauvais temps, cette compétition restera toujours magique, grace à cet esprit d'équipe qui règne au club. C'est juste, trop bon. Et j'aime les gens qui nagent avec moi.
Sinon c'était pas bien, parce que j'aime pas enchainer sur une compét' juste le lendemain des vacances pour ensuite enchainer sur Noël et un séjour parisien. J'aime avoir une coupure de deux jours où je ne fais rien, mais strictement rien, et ou je dors. Or là c'était pas possible, couché 23h vendredi, levé 7h samedi couché 22h, levé 5h55 un dimanche 23 décembre. Où va le monde. C'était pas bien parce que j'ai pas fait un super super temps au 400 4nages, je me sentais pas bien du tout, je crois que je me suis jamais sentie aussi mal sur un 400 4nages. Et puis je m'enerve parce que j'ai stressé toute l'après midi avant cette foutue épreuve, et j'ai peut-être trop stressé. Ca me démoralise d'autant plus que j'ai constaté un truc cruellement véridique : on nage vite quand on est amoureux. Exemple type : moi l'année dernière, amoureuse, pleine de confiance, en plus mon amoureux de l'époque était là. Deuxième exemple type un pote qui sort avec une fille depuis 3 semaines a littéralement explosé tous ces temps. Pire, troisième exemple type : celui qui est amoureux de moi a lui aussi explosé son temps. Et là j'ai une question qui me trotte dans la tête : est ce que s'il avait été là, au lieu de choisir CE week end pour se faire la malle à paris, j'aurais fait un bon temps au 400 4nages. J'aurais tendance à dire oui, malheureusement. Je me connais, j'aurais voulu bien faire, j'aurais été dans un état de douce euphorie plutôt que dans une appréhension totale. Je disais donc bien : je m'énèrve moi même.
A part ça, la troisième mi-temps était bien, un resto avec tout le monde, comme d'habitude. Particulièrement marrant puique j'avais en face de moi un nageur que je ne connaissais pas trop, vu qu'il a 25 ans et qu'il est parti du club au moment où j'y suis arrivé. J'ai appris à le connaitre, et c'est donc un petit rigolo. Le pire c'est qu'il a fait la même école que ce lui qui n'est pas venu. Cruelle ironie du sort. Pour finir, petit poker entre nageurs. Seule fille au milieu de 6 mecs, c'est plutôt sympa je dois dire. Même si j'ai passé plus de temps à rire avec mon voisin qu'à réellement m'occuper de la partie. Dimance 23 décembre, levé 6h couché 2h. Record presque battu.
Noël, j'ai comme l'impression que c'était accidentel. Un truc que j'avais pas préparé, et qui m'est tombé dessus, comme ça, pouf (oui je sais je fais bien le bruit du Noël qui me tombe dessus). Cette année, c'est comme si j'étais une blasée de Noël, alors qu'en fait pas du tout, j'aime m'emerveiller de toutes ces illuminations, faire le sapin et retomber en enfance, attendre mes cadeaux avec hate, attendre les réunions de famille avec impatience etc. Mais là, rien de tout ça. Et je m'en veux d'être passé à côté d'un truc pareil. Est-ce que c'est parce que je n'arrive plus à m'emerveiller de ce genre de chose, où est ce c'est juste parce que j'ai été prise au dépourvu, temporellement parlant ? J'ai passé la journée du 25 à être fatigué, à ne rien avoir à dire, à ne pas avoir envie de manger. Comment j'ai pu être à ce point à côté de mes pompes dans un jour que j'aime autant ? Plus généralement, comment je fais pour être à ce points à côté de mes pompes en ce moment ? Aux antipodes de ce que j'aimerais être ?
J'aime pas, j'ai 'impression d'avoir un Noel qui se résume aux mots : achat cadeaux / emballage / ouverture cadeaux / remerciements. Plié. Un Noël mécanisé. Est ce que désormais je fais partie de ces gens que les fêtes de fin d'année déprime ? Pitié dites moi que non.
Pourtant ça y ressemble cruellement. On ne peut pas dire que mon nouvel an était géniallissime, c'était bien mais sans plus, je l'ai vécu comme un truc à faire pour faire plaisir. C'est chose faite , voila une épreuve de passé. C'est pas vraiment la conception du nouvel an que je voudrais avoir, mais bon.
La seule chose qui m'a remis de bonne humeur ça été de passer du temps avec ma cousine à Paris, de voir mes cousins, même si j'ai pas le sentiments d'avoir profité d'eux le jour de Noël. Au fil de mon séjour parisien (5 petits jours seulement), j'étais de plus en plus de bonne humeur et j'ai réussi à ne pas penser aux trucs qui me hantaient (ce mot est à peine trop fort), ça aurait pu durer, mais non. De retour chez moi et j'ai l'impression que tout recommence, je me sens submergée à nouveau. Enfin bon, j'aurais au moins eu le mérite d'avoir une bonne vraie coupure. Même si ce fut une coupure sans rendez vous oléronnais, comme on se l'était dit. Paroles en l'air... Alors c'est vraiment ça, on a chacun sa vie et on s'oublie le reste de l'année ?
Bref. En fait ça va pas super en ce moment.