Ai oublié de dire combien j'étais happy de mon menu de sport : Athlé - Natation - Volley. Et combien j'étais contente de ma classe de sport : 21 élèves, 6 filles. Et des garçons sympa dont des nageurs. Oui, oui 21. Je commence à m'habituer, on doit être 13 en Allemand, 16 en Anglais euro et 26 dans ma classe. C'est la crise démographique. Et puis de toutes façons c'est normal qu'on soit que 21 vu qu'il y a natation dans ma triplette et c'est bien connu, (presque) personne n'aime la natation quand il ne l'a jamais pratiqué pour son plaisir. Donc régulièrement, on a droit des scènes très drôles venant des professeurs, qui viennent pleurer auprès des élèves pour qu'ils désertent la triplette où il y a 60 personnes alors qu'à côté on est 15 pelés à avoir choisi natation. Et cette année par un stratagème complétement injuste, le prof a forcé 6 élèves à venir faire notre triplette magique, dans la joie et la bonne humeur, évidemment. Viendez en Natation les gens, viendez !
Bref ce matin de bonne heure, de 8h à 10h en fait (ce qui est bien avec cette heure de cours, c'est que si tu te lèves à 7h, le réveil musculaire arrive.... juste à la fin du cours, la bonne idée, enfin t'façon j'ai des boulets dans ma classe qui courront toujours plus lentement que moi, donc on s'en tamponne le coquillard du réveil musculaire), ce matin de bonne heure disais-je donc, j'ai eu athlé. Et bah l'athlé, c'est bien, je confirme. Enfin, courir en rond autour d'un stade, c'est bien ! J'ai même pas essayé le saut de haie, persuadé que ce n'était pas pour moi, oui je vais me contenter de courir, au moins je risquerais pas de me casser la gueule c'est moins dangereux... Résultat des courses, je suis conteeeente parce que j'ai réussi à passer en dessous du temps-qu'il-faut-faire-pour-avoir-la-moyenne,qui est de de 2'25, sur mes deux 500, alors que je cours jamais, et que j'ai toujours mes trois kilos superflus de cet été qui se balladent dans un coin de mes fesses. Donc 2'13 et 2'18, j'ai dit que j'irais courir le dimanche desormais, affaire à suivre.
Par contre j'ai mal aux cuisses comme si j'avais porté un éléphant sur mes genoux.
Vendredi 14 septembre 2007 à 20:36
Mercredi 12 septembre 2007 à 21:09
Déjà on change la musique qui commençait à prendre la poussière depuis le mois de juillet. Ensuite on met du Manu Chao parce que ça nous fait penser au gentil garçon qui à eu la bonne idée de nous offrir ce cd en cadeau d'anniversaire. Après, on pense à écrire parce que ça soulage et ça évite d'embêter ses amis avec des pseudo-problèmes démoralisant, et ensuite on arrête de parler de soi à la 3ème personne. Parce que même si on se sent un peu déphasée avec le corps en terminal et le coeur en vacances, c'est pas une raison.
Je m'interdis de penser à mes vacances pendant la journée, je m'interdis de paniquer en pensant que je n'ai aucune motivation, je m'interdis de revoir des images bien trop agréables défiler dans ma tête. Mais ça marche pas toujours. Parce que mon prof de philo ressemble à quelqu'un qui a partagé un morceau de mes vacances, et quel morceau ! Et parce qu'en plus le garçon qui ressemble à mon prof de philo je l'ai revu dimanche pour mon anniversaire avec tous les autres gens d'Oléron, et que donc, les souvenirs reviennent bouillir à la surface. Parce qu'en plus je suis à côté de quelq'un de tout pourri en spé physique et que dès que j'ai un petit truc qui va pas je subis le phénomène de la gouttière qui se vide. Comme quand la gouttière elle relache toute l'eau de pluie qu'elle a accumulée pendant 3h. Bah moi je repense à tous les petits trucs qui font que. Et puis tout ça ça se vide, parfois mes yeux c'est la gouttière. Parfois quand je regarde le prof de philo je me perds dans mes pensées et je pince les lèvres pour contrôler le débit de la gouttière, parce qu'il faut pas que ça sorte, sinon c'est la fin ça s'arrête plus.
Sinon j'ai passé une merveilleuse journée d'anniversaire, mais chut je le garde quelque part vers la gauche parce que quand j'en parle ça fait des noeuds dans l'estomac et la gouttière déborde tellement c'était bien.
Je m'interdis de penser à mes vacances pendant la journée, je m'interdis de paniquer en pensant que je n'ai aucune motivation, je m'interdis de revoir des images bien trop agréables défiler dans ma tête. Mais ça marche pas toujours. Parce que mon prof de philo ressemble à quelqu'un qui a partagé un morceau de mes vacances, et quel morceau ! Et parce qu'en plus le garçon qui ressemble à mon prof de philo je l'ai revu dimanche pour mon anniversaire avec tous les autres gens d'Oléron, et que donc, les souvenirs reviennent bouillir à la surface. Parce qu'en plus je suis à côté de quelq'un de tout pourri en spé physique et que dès que j'ai un petit truc qui va pas je subis le phénomène de la gouttière qui se vide. Comme quand la gouttière elle relache toute l'eau de pluie qu'elle a accumulée pendant 3h. Bah moi je repense à tous les petits trucs qui font que. Et puis tout ça ça se vide, parfois mes yeux c'est la gouttière. Parfois quand je regarde le prof de philo je me perds dans mes pensées et je pince les lèvres pour contrôler le débit de la gouttière, parce qu'il faut pas que ça sorte, sinon c'est la fin ça s'arrête plus.
Sinon j'ai passé une merveilleuse journée d'anniversaire, mais chut je le garde quelque part vers la gauche parce que quand j'en parle ça fait des noeuds dans l'estomac et la gouttière déborde tellement c'était bien.
Samedi 8 septembre 2007 à 12:09
Je suis pas vraiment dans le bain. Pas dans l'optique rentrée-boulot-bac. D'habitude je suis toujours au taquet à la rentrée, toujours à prendre plein de résolutions que je ne tiens pas. Et là rien. Juste pas envie de m'y remettre. J'ai encore la tête dans mes vacances, et je réalise pas vraiment que je vais aller à l'école tous les jours de la semaine, sauf le samedi-dimanche que je passerais à faire DM de Maths et autres exo de physique. Soit.
Mercredi matin j'arrive toute guillerette, fraiche et dispo, et même pas en retard en plus. parce que le jour de la rentrée, je sais pas vous, mais dès que j'entend le réveil je me dresse comme un ressort et je saute de mon lit, allez savoir pourquoi il y a comme une sorte d'energie magique qui vous tire du lit avec les idées bien en place et même pas de mauvaise humeur. Bizarrement, les autres jours cette énergie disparait subitement. J'arrive donc au lycée, je sais déjà ma classe parce que j'ai été voir les listes la veille. je me retrouve avec copine Céline et d'autre gens de l'année dernière, malheureusement pas ceux espérés, mais bon, dans l'ensemble ça va. On regarde notre salle, 307, oulala que ça va être dure de monter au troisième, on n'a plus d'entrainement là ! Grande surprise qui nous émoustille, le nouveau batiment est tout fini et l'ancien batiment à était refait pendant les vacances, c'est la grande claaaaasse. On trouve notre salle et notre prof principal, c'est encore un prof de physique, je vous en parlerais plus loin. C'est là que vient le moment marrant, on découvre les gens de notre classe qu'on ne connait pas, on catalogue vite fait les gens, on lance des petits sourire timides et on repère les gens qu'on va apprécier, ou pas.
Le prof attaque cash : distribution des emplois du temps. Alors là, il y a un mystère que je ne comprend pas, je n'ai qu'une heure de trou par semaine, je n'ai qu'une heure pour manger tous les midis, et pourtant, il arrivent quand même à nous faire sortir à 17h le lundi, 18h le mardi, 16h ou 18h le jeudi et 17h le vendredi ! Comment c'est possible ?! Mon emploi du temps c'est un bloc ! En plus ils ont été so sweet dans mon lycée cette année, ils ont réservé un créneau spécial devoir sur table pour toutes les terminales, devinez quand ? Le vendredi de 15 à 17 ! Si c'est pas mignon. Quand on aura commencé par deux heures de sport, enchainé avec une heure d'histoire et deux heures de maths, fait un détour par la cantine et le cours d'anglais, on devra se taper des DS de deux heures un vendredi après midi. La joie m'envahit.
Bon maintenant je crois que ça s'impose....
La Philosophie. Ah ah. C'est le premier cours de mon année de terminale que j'ai eu. Et je dois dire que.... :D hmmm, enfin bref. Avant la rentrée, j'avais hâte de voir ce que ça donnait la philo, je sentais que ça allait me plaire, mais tout le monde m'a dit que ça dépendait beaucoup du prof. Là, pour le coup, j'ai pas été déçue. Avec copine Céline on voulait un prof précis du lycée, parce que parait-il il est trop bien et pour ne rien gâcher il est tout petit tout mignon et autant dire que quand il est dans les parages, nos yeux ont vaguement l'habitude de regarder dans sa direction (c'est pas moi c'est mes yeux). Quand on a vu le nom de notre prof de philo sur l'emploi du temps, on a été déçue avec copine Céline. Bah oui, parce que c'était pas le nom du tout petit tout mignon, et qu'en plus c'était un nom inconnu, ce qui implique --> nouveau prof, nouvelle tête, inconnu au bataillon, peut être nul, peut être méchant. On est donc allé vers notre salle de philo comme un aventurier ayant peur de croiser un ours polaire à chaque coin de rocher. Et là, un jeune homme à sacoche passe négligemment, puis se retourne parce qu'il réalise que OUIIIII c'est nous les TS3. "Vous êtes en quelle classe ?... Ah oui, je crois que c'est vous, attendez moi dans la salle c'est ouvert". Ok ! Donc là c'est bon on est rassurée, si la gente féminine ne se controlais pas, la moitié des filles de la classe seraient la bouche ouverte avec un petit filet de bave. Bon ok, j'exagère. Mon prof de philo n'est pas à proprement parler "beau", non non il n'est pas canon. Il a juste.... trop de charme. Un charme qui me fait particulièrement de l'effet. Pour ne rien arranger de sa classitude, il est agrégé de philo, il est pote avec l'autre prof de philo tout petit tout mignon, et il parle clairement et pas trop vite, ce qui me change radicalement de mon prof d'histoire de l'année dernière qui bafouillaient douze fois la même chose, au final tu comprenais rien à ce qu'il disait donc tu notais rien. En plus de ça, le premier cours de philo m'a plutôt plu, moi qui ai la fâcheuse habitude de me poser trop de questions, voilà enfin un cours où ça va me servir. Je m'emballe pas trop pour l'instant, parce que je sais que si j'ai eu une bonne impression de la philo c'est surement à cause du prof (pff toutes pareilles ces filles...) et en plus, il faut voir quand on abordera des thèmes précis, parce que là c'était plutôt un cours d'intro à la philo.
Sinon depuis mercredi, je cherche desespérément à qui me fait penser mon prof de philo, parce qu'il me rappelle tellement quelqu'un, dans sa façon de parler, dans sa façon de se passer la main dans les cheveux quand il cherche ses phrases, même dans son visage il a un truc qui ressemble à quelqu'un, mais qui ?! Grrr j'ai envie de trouver, en plus je suis à moitié persuadé que si je l'aime bien, c'est justement parce qu'il me rappelle ce quelqu'un. Bref, affaire à suivre. Prochain cours de philo : mardi. Nan nan, c'est pas comme si j'avais trop hâte.
Mercredi matin j'arrive toute guillerette, fraiche et dispo, et même pas en retard en plus. parce que le jour de la rentrée, je sais pas vous, mais dès que j'entend le réveil je me dresse comme un ressort et je saute de mon lit, allez savoir pourquoi il y a comme une sorte d'energie magique qui vous tire du lit avec les idées bien en place et même pas de mauvaise humeur. Bizarrement, les autres jours cette énergie disparait subitement. J'arrive donc au lycée, je sais déjà ma classe parce que j'ai été voir les listes la veille. je me retrouve avec copine Céline et d'autre gens de l'année dernière, malheureusement pas ceux espérés, mais bon, dans l'ensemble ça va. On regarde notre salle, 307, oulala que ça va être dure de monter au troisième, on n'a plus d'entrainement là ! Grande surprise qui nous émoustille, le nouveau batiment est tout fini et l'ancien batiment à était refait pendant les vacances, c'est la grande claaaaasse. On trouve notre salle et notre prof principal, c'est encore un prof de physique, je vous en parlerais plus loin. C'est là que vient le moment marrant, on découvre les gens de notre classe qu'on ne connait pas, on catalogue vite fait les gens, on lance des petits sourire timides et on repère les gens qu'on va apprécier, ou pas.
Le prof attaque cash : distribution des emplois du temps. Alors là, il y a un mystère que je ne comprend pas, je n'ai qu'une heure de trou par semaine, je n'ai qu'une heure pour manger tous les midis, et pourtant, il arrivent quand même à nous faire sortir à 17h le lundi, 18h le mardi, 16h ou 18h le jeudi et 17h le vendredi ! Comment c'est possible ?! Mon emploi du temps c'est un bloc ! En plus ils ont été so sweet dans mon lycée cette année, ils ont réservé un créneau spécial devoir sur table pour toutes les terminales, devinez quand ? Le vendredi de 15 à 17 ! Si c'est pas mignon. Quand on aura commencé par deux heures de sport, enchainé avec une heure d'histoire et deux heures de maths, fait un détour par la cantine et le cours d'anglais, on devra se taper des DS de deux heures un vendredi après midi. La joie m'envahit.
Bon maintenant je crois que ça s'impose....
La Philosophie. Ah ah. C'est le premier cours de mon année de terminale que j'ai eu. Et je dois dire que.... :D hmmm, enfin bref. Avant la rentrée, j'avais hâte de voir ce que ça donnait la philo, je sentais que ça allait me plaire, mais tout le monde m'a dit que ça dépendait beaucoup du prof. Là, pour le coup, j'ai pas été déçue. Avec copine Céline on voulait un prof précis du lycée, parce que parait-il il est trop bien et pour ne rien gâcher il est tout petit tout mignon et autant dire que quand il est dans les parages, nos yeux ont vaguement l'habitude de regarder dans sa direction (c'est pas moi c'est mes yeux). Quand on a vu le nom de notre prof de philo sur l'emploi du temps, on a été déçue avec copine Céline. Bah oui, parce que c'était pas le nom du tout petit tout mignon, et qu'en plus c'était un nom inconnu, ce qui implique --> nouveau prof, nouvelle tête, inconnu au bataillon, peut être nul, peut être méchant. On est donc allé vers notre salle de philo comme un aventurier ayant peur de croiser un ours polaire à chaque coin de rocher. Et là, un jeune homme à sacoche passe négligemment, puis se retourne parce qu'il réalise que OUIIIII c'est nous les TS3. "Vous êtes en quelle classe ?... Ah oui, je crois que c'est vous, attendez moi dans la salle c'est ouvert". Ok ! Donc là c'est bon on est rassurée, si la gente féminine ne se controlais pas, la moitié des filles de la classe seraient la bouche ouverte avec un petit filet de bave. Bon ok, j'exagère. Mon prof de philo n'est pas à proprement parler "beau", non non il n'est pas canon. Il a juste.... trop de charme. Un charme qui me fait particulièrement de l'effet. Pour ne rien arranger de sa classitude, il est agrégé de philo, il est pote avec l'autre prof de philo tout petit tout mignon, et il parle clairement et pas trop vite, ce qui me change radicalement de mon prof d'histoire de l'année dernière qui bafouillaient douze fois la même chose, au final tu comprenais rien à ce qu'il disait donc tu notais rien. En plus de ça, le premier cours de philo m'a plutôt plu, moi qui ai la fâcheuse habitude de me poser trop de questions, voilà enfin un cours où ça va me servir. Je m'emballe pas trop pour l'instant, parce que je sais que si j'ai eu une bonne impression de la philo c'est surement à cause du prof (pff toutes pareilles ces filles...) et en plus, il faut voir quand on abordera des thèmes précis, parce que là c'était plutôt un cours d'intro à la philo.
Sinon depuis mercredi, je cherche desespérément à qui me fait penser mon prof de philo, parce qu'il me rappelle tellement quelqu'un, dans sa façon de parler, dans sa façon de se passer la main dans les cheveux quand il cherche ses phrases, même dans son visage il a un truc qui ressemble à quelqu'un, mais qui ?! Grrr j'ai envie de trouver, en plus je suis à moitié persuadé que si je l'aime bien, c'est justement parce qu'il me rappelle ce quelqu'un. Bref, affaire à suivre. Prochain cours de philo : mardi. Nan nan, c'est pas comme si j'avais trop hâte.
Hakuna Matata, ce mot signifie, que tu vivras ta viiiiiiie, sans aucun souciiiiiis, PHILOSOPHIIIIIE, Hakuna Matata !
Vendredi 7 septembre 2007 à 20:02
Hier soir, je me suis dit en me couchant que ce serait agréable de rêver de mon prof de philo, et puis comme par miracle ça a marché. J'ai rêvé que j'étais dans ma maison de famille dans le Jura et que mon prof de philo était là. Alors il me proposait de faire un tennis et moi j'allais m'habiller et mettre mes baskets pendant que ma cousine lisait Sophocle dans son lit. Même que ma mère voulait aller faire de l'acrobranche mais moi j'ai dit nan je vais jour au tennis avec Pierre. Et puis je me retrouve sur le court et là mon téléphone sonne, c'est Thibault et Hélène qui m'appelle pour me dire qu'il ne vienne pas Dimanche pour mon anniversaire, et là je me met à dire plein de gros mots et à crier en déversant toute ma rage et ma frustration jusqu'à ce que je me rende compte que mon prof de philo me regarde fixement, avec son short et sa raquette. Et là je me réveille. Et je souris. Et je me dis que les rêves c'est bien, parce que d'une on peut jouer au tennis avec n'importe qui, et de deux, parce qu'on est toujours super bien foutu en short. J'ai bien fait de regarder Match Point avant de me coucher, apparement ça m'a inspiré.
Je sais c'est n'importe quoi je vous ai même pas raconté ma rentrée alors vous pouvez pas vous imaginez ce que ça fait de rêver du prof de philo. Mais tant pis, je fais tout à l'envers, un jour je vous raconterez ma rentrée, il le faut, rien que pour m'en souvenir, je suis sûre que plus tard ça me fera rire.
Je sais c'est n'importe quoi je vous ai même pas raconté ma rentrée alors vous pouvez pas vous imaginez ce que ça fait de rêver du prof de philo. Mais tant pis, je fais tout à l'envers, un jour je vous raconterez ma rentrée, il le faut, rien que pour m'en souvenir, je suis sûre que plus tard ça me fera rire.
Mercredi 29 août 2007 à 13:28
De retour de vacances. Encore, et pour la dernière fois. J'ai l'impression d'avoir passé la moitié de mes vacances dans le train. Toute seule, avec mon frère, avec un livre, avec mon ipod. Les TER, Corail Intercités et TGV n'ont plus de secrets pour moi. Des vieux, des moches, des qui sifflent en freinant, des tout-nouveau-tout-beau aussi. Saintes-Bordeaux, Bordeaux-Saint Jean de Luz, Saint Jean de Luz- Saint Pierre des Corps, Saint Pierre des Corps-Vierzon, Vierzon-Lyon, Lyon-Lons le Saunier, Lons le Saunier-Lyon, Lyon-Vierzon.
Mes vacances Oléronnaises étaient tout simplement génialissimes. J'y ai rencontré des gens super, j'ai même appris à connaître et à aimer des gens que je connaissais déjà. C'était tellement intense, tellement bien, qu'avec le recul, j'ai pas l'impression d'avoir vécu ces dix jours. Comme si c'était un rêve dont on garde un souvenir agréable et qui refléte un certain idéal qu'on ne peut plus atteindre. Le genre de rêve qui nous fait sourire pensivement en plein cours de maths, le genre de rêve où des images précises restent bien ancrées dans la mémoire. Et bien là, c'est exactement ça. Quand je regarde les quelques 465 photos, des images, des sons me reviennent en cascade, les souvenirs déroulent dans ma tête comme un film et je souris, je rigole. Ca fait boum boum au milieu à gauche, et je suis prête à parier que quand je m'ennuierais en cours, je laisserais mon esprit vagabonder sur la grande plage et dans la maison aux volets bleus.
C'est le genre de vacances qu'on oublie pas, je le sais. Mais c'est aussi celle qu'on a le moins envie de raconter, de partager. C'est tellement incomparable. Le genre de vacances où on rentre chez soi, on se sent désespérément seule, il y a comme un gros vide, on passe les deux premiers jours à pleurer, et puis après ça va mieux, mais on trouve que les gens sont nuls, qu'ils ne pourront jamais comprendre, on trouve tout le monde nul d'ailleurs. Comme si rien ni personne n'était à la hauteur de ce qu'on venait de vivre. Et c'est peut être réellement le cas d'ailleur.
Le reste de mes vacances arrivera peut être au compte goutte, quand je serais d'humeur à vous raconter Saint jean de Luz entre copines et le Jura entre cousins.
Mes vacances Oléronnaises étaient tout simplement génialissimes. J'y ai rencontré des gens super, j'ai même appris à connaître et à aimer des gens que je connaissais déjà. C'était tellement intense, tellement bien, qu'avec le recul, j'ai pas l'impression d'avoir vécu ces dix jours. Comme si c'était un rêve dont on garde un souvenir agréable et qui refléte un certain idéal qu'on ne peut plus atteindre. Le genre de rêve qui nous fait sourire pensivement en plein cours de maths, le genre de rêve où des images précises restent bien ancrées dans la mémoire. Et bien là, c'est exactement ça. Quand je regarde les quelques 465 photos, des images, des sons me reviennent en cascade, les souvenirs déroulent dans ma tête comme un film et je souris, je rigole. Ca fait boum boum au milieu à gauche, et je suis prête à parier que quand je m'ennuierais en cours, je laisserais mon esprit vagabonder sur la grande plage et dans la maison aux volets bleus.
C'est le genre de vacances qu'on oublie pas, je le sais. Mais c'est aussi celle qu'on a le moins envie de raconter, de partager. C'est tellement incomparable. Le genre de vacances où on rentre chez soi, on se sent désespérément seule, il y a comme un gros vide, on passe les deux premiers jours à pleurer, et puis après ça va mieux, mais on trouve que les gens sont nuls, qu'ils ne pourront jamais comprendre, on trouve tout le monde nul d'ailleurs. Comme si rien ni personne n'était à la hauteur de ce qu'on venait de vivre. Et c'est peut être réellement le cas d'ailleur.
Le reste de mes vacances arrivera peut être au compte goutte, quand je serais d'humeur à vous raconter Saint jean de Luz entre copines et le Jura entre cousins.